Un Messin sur cinq (22 686 personnes) vit en dessous du seuil de pauvreté. Le Centre communal d’action sociale (CCAS) de la Ville de Metz est de plus en plus sollicité.
Au Conseil d’administration du 18 décembre 2018, nous avons travaillé sur le nombre préoccupant de « travailleurs pauvres » à Metz.
A l’ordre du jour, était ensuite inscrite la demande d’approuver une aide financière supplémentaire à des personnes étrangères qui ne manifestent aucune volonté de s’intégrer. Il s’agit d’occupants d’un bidonville de populations originaires de Roumanie. Ce « bidonville officiel » a été installé il y a trois ans à l’initiative de la municipalité (documents du CCAS à lire ici), derrière les terrains de foot de la rue Lothaire. La Ville y a déjà consacré déjà beaucoup d’argent avec l’Etat : 150 000 €.
Pour les plus réfractaires à l’intégration, la municipalité veut faire encore plus : leur donner un pécule de trente euros (30 €) par personne et par jour de « remobilisation » c’est à dire d’accompagnement par un travailleur social. Au programme, découverte des métiers, accès au sport ou à la culture !
On a répondu à mes objections que si les personnes ne font pas d’efforts, elles seront renvoyées chez elles. Qui peut le croire ? Chacun sait que 80% des expulsions ne sont pas suivies d’effets.
En 2016, le maire de Metz m’avait déjà rétorqué, lorsque ce bidonville a été installé : vous préférez qu’ils continuent de pratiquer la mendicité agressive sur le parking derrière la cathédrale ???
Le problème, c’est qu’aujourd’hui, derrière la cathédrale, il y a toujours des bandes des pays de l’Est qui menacent et rackettent les usagers du parking. J’ai personnellement été insultée par eux le 11 novembre dernier pour avoir refusé de donner de l’argent : « la France c’est de la m…, Metz c’est de la m…! » Quelle image de Metz veut-on donner aux touristes qui fréquentent notre centre-ville ?
Au nom du Rassemblement National pour Metz, je refuse ce dévoiement de l’argent public vers la préférence étrangère, alors que la précarité grandit chez nos compatriotes. Cet argent doit servir uniquement à aider les plus fragiles de notre société : mères isolées, jeunes sans ressources, retraités dans la misère. La Fraternité commence ici !
J’ai donc voté contre cette subvention, laissant la gauche et la « droite » à leurs responsabilités. Il faut que les Messins le sachent : seul le Rassemblement National pour Metz rétablira la justice sociale pour les Messins.
Élue FN/RBM au Conseil municipal de Metz
Conseillère de Metz Métropole
Élue régionale du Grand Est – Alsace | Champagne-Ardenne | Lorraine
Bonjour !
Merci pour votre invitation que j’aurais pris plaisir à honorer si elle avait eu lieu un autre jour que dimanche.
Je vous souhaite une bonne année et que vous puissiez oeuvrer pour la défense de nos libertés et de nos traditions.
Bien cordialement.
G. G