Ce 13 novembre 2013, le campement de demandeurs d’asile de l’avenue de Blida a été vidé de ses occupants. Il était temps !
Les pouvoirs publics ont baissé les bras et laissent entrer un flux permanent d’immigrés clandestins (dont 95% ne seront pas admis comme réfugiés politiques). Dès lors, il est logique que ces personnes, que le laxisme UMPS accueille en France, soient prises en charge. Nous avons dénoncé, cet été sur ce site, la responsabilité que prenaient les autorités préfectorales et municipales en laissant croupir des centaines de personnes dans des conditions insalubres, sur un terrain « officiel ».
- Selon les données préfectorales, 420 personnes ont déjà été relogées depuis juin 2013 (sur décision de justice, rappelons-le).
- Il restait donc 720 à 820 personnes dans le camp, sachant que plusieurs familles arrivent chaque semaine.
Transports mis à disposition par la préfecture pour emmener les demandeurs d’asile dans les différents lieux de relogement. | |
---|---|
L’équipe de Médecins du Monde, qui a suivi les familles depuis des semaines se dit « très contente du transfert, même si on aurait aimé que cela se fasse plus tôt ».
Autant cette attitude est parfaitement compréhensible sur le plan humain, autant la réaction de la Préfecture laisse perplexe. En déclarant : « Ici à Blida, il s’agit principalement d’immigration économique et pas politique », le Préfet Meddah admet déjà qu’il s’agit d’immigrés clandestins et non pas de réfugiés politiques.
Le Préfet de Moselle se défend d’avoir organisé une « opération d’ordre public ». « C’est une opération d’hébergement, une opération sociale. Pas une opération d’expulsion ».Vidéo du JT FR3 12-13 à partir de 5min
Pas une opération de police ?
Ce n’est pas vrai pour tout le monde, puisque l’auteur de notre reportage, venu s’informer, a vu son identité contrôlée par la Police.
Quel paradoxe de demander ses papiers à un citoyen français, à deux pas d’un rassemblement de centaines de clandestins !
Les Messins aimeraient que la même fermeté, la même vigilance soient de mise aux frontières françaises.
Ces 730 ressortissants d’Europe de l’Est seront relogées dans des logements sociaux ou des bâtiments publics, à Metz et dans toute la Moselle. Les communes d’accueil vont devoir assumer cette charge par leurs CCAS et écoles.
La Préfecture a « fait appel à la solidarité des Lorrains » : en clair, on dissémine le problème, excepté en Meurthe-et-Moselle, car « elle connaît déjà les mêmes difficultés que nous ».Vidéo du JT FR3 19-20 à partir de 4min
Au début de la mauvaise saison, cette nouvelle manifestation de préférence étrangère constitue une injustice criante pour nos SDF.
De même pour les 3,6 millions de victimes du mal-logement, et ceux qui sont sur liste d’attente pour des logements sociaux.
Ils ont entendu avec amertume la Directrice Départementale de la Cohésion Sociale, Anoutchka Chabeau (sur le site du Républicain Lorrain http://m1p.fr/BUh) rassurer les bonnes consciences bobos : « Nous avons mobilisé des associations qui vont assurer le suivi personnel des personnes qui sont hébergées. 6 ou 7 associations, plus le 115, plus la Fondation Abbé Pierre, plus Médecins du Monde ».
Les riverains de l’avenue de Blida sont soulagés… En attendant que de nouveaux groupes, en plus grand nombre, viennent prendre la suite. Il est temps de rompre cette spirale infernale, pour Metz comme pour la France, et de retrouver notre souveraineté : les citoyens auront l’occasion de donner leur avis aux élections municipales et européennes de 2014.
Bonjour à tous,nous sommes en 2014 et après un relogement de ces gens venus des balkans en 2013,voilà que d’autres arrivent….ils doivent téléphoner à leurs familles en disant « »venez,ici tout est gratuit » »..peut-être téléphonent-ils avec de beaux smartphones acquis en France,avec l’argent des contribuables..Le pire est que 95% de cette population n’est pas en difficulté dans leur pays.Beaucoup d’entre eux ont une maison..de plus ils trompent la SECU avec l’aide de gens de notre région.(tout cela de source d’une intèrprète assermentée).Merci aux associations de défendre ceux qui profitent du système Français,honte à vous!! et merci à la municipalité de METZ de préférer augmenter les impôts des messins,tout cela pour défendre une soit disante France terre des droits de l’Homme..il n’y a là que des intérêts politiques,donc personnel..et si d’aventure Mr le Maire venait à lire ce message,sachez que je n’adhère pas au FN..ma compagne est AFRICAINE !!
OUVREZ LES YEUX
quand on voit les dégât qu’ils laissent derrières eux
Quand on sait que des sdf Français reste dehors fautes de places pour eux
je cite le reportage :Ces 730 ressortissants d’Europe de l’Est seront relogées dans des logements sociaux ou des bâtiments publics, à Metz et dans toute la Moselle. Les communes d’accueil vont devoir assumer cette charge par leurs CCAS et écoles.
donc encore et toujours nos Impôts ????
C’est bien pirer encore car RIEN n’est fait pour loger nos SDF Français, porteur d’une carte nationale d’identé FRANCAISE et qui, eux, sont CONDAMNES à passer l’hiver DEHORS, en prise au froid hivernal et aux intempéries.
Comment éviter de nouveaux « bidonvilles immprovisés » ? C’est pourtant simple : il suffirait de mettre en place un « Plan de Vigilance » avec numéro vert aboutissant sur une BRIGADE d’INTERVENTION IMMEDIATE pour BLOQUER sur le champ toute nouvelle initiative de campement dès l’arrivée des premiers « migrants ».
Trop simple à mettre en oeuvre, probablement !
Le citoyen Français qui installe sa caravane de loisir en « garage prolongé » sur son champ et dans son jardin… est, lui, très vite mis en demeure dès les 3 mois de tolérance expirés…
Dur, de plus en plus dur d’être Français !
Blida occupée, Blida libérée, juste après les commémorations du 11 novembre, sans huées ni interpellations, mis à part le contrôle d’un promeneur attiré par ce chamboule tout. Beaucoup de moyens mis en œuvre, place nette et grande efficacité, comme j’ai pu le voir lors d’un passage rapide à vélo (sans interpellation). Il était grand temps de penser à la relève qui arrivera bientôt au printemps 2014.
Beaucoup de satisfactions mais qui me laissent amère. Je connais un bon nombre de Messins fragilisés, vivant dans la précarité, dans l’attente d’obtenir gain de cause. Cette démonstration d’assimilation, avant même une décision de l’administration, signifie que nos pauvres pourront attendre encore, le temps que cette vague d’arrivants soit logée, soignée, assistée, en attendant les suivants. C’est ainsi que les saisons passent dans notre belle ville.
La soupe est bonne à Metz, et il faut dire que la colère ou l’incompréhension de compatriotes s’oppose à d’autres points de vue. Cela est source de divisions et arrange bien les petites affaires de nos dirigeants, et ce jusqu’au gouvernement. La devise » diviser pour mieux régner » est au service de sa majesté à l’Elysée. Municipales, présidentielles, tout est à revoir.