« Je ne voterai pas un budget où l’on supprime une centaine d’emplois sur trois ans », explique-t-il, considérant que « la situation n’est pas si mauvaise ». Il a été rejoint par le Front national, qui aimerait par exemple plus de policiers municipaux ou moins de précarité. « Les économies sur le dos du personnel tombent mal », dit Françoise Grolet. L’amendement n’a été voté que par cinq élus.
« Il faut bien faire des choix, observe Jean-Michel Rossion (FN), comme l’investissement de 2,5 millions dans ce Centre. Mais nous sommes bien loin des attentes des Messins. »