Gide et rigide
Jean-Michel Rossion, pour le FN trouve l’évolution des emprunts un peu raide : « on est passé de 7 à 30 millions d’euros en deux ans. Pour lui les comparatifs des strates sont irrecevables et une moyenne n’a jamais représenté un Graal. » L’élu qui avait commencé son intervention par Gide (« tout est dit mais puisque personne n’écoute il faut tout répéter« ) conclura avec une phrase du même auteur à la trajectoire parfois contestée : « dans un monde où chacun triche, c’est l’homme qui dit la vérité qu’on finit par faire passer pour un charlatan« . Et puisqu’il reste quelques secondes au crédit temps de sa formation, Françoise Grolet, adepte des formules dépouillées dit simplement qu’elle ne voit aucune orientation dans ce débat ni dans ce budget-là.
Bérangère Thomas, figurine de Buzz l’Éclair à bout de bras, voit d’un mauvais oeil « la multiplicité des projets en matière d’art contemporain« . NDLR : ce projet de bus « culturel » dont le coût toal est de 250 000 euros sera financé à hauteur de 112 000 euros par la vile qui ira ensuite mendier cette somme auprès de l’europe (FEDER). 80 000 euros étant destinés au salaires et chauffage. nombre d’entreprise seraient heureuse de se faire financer ainsi !
Bérangère Thomas (RBM) de lui proposer « un couple de chamois » pour grignoter la mousse qui prolifère sur le toit du Pompidou… Mieux qu’un reportage animalier.
Le rapport d’activité de la SAREMM détenue par Metz Métropole et Metz fait état d’un déficit de 130 000 euros, quant à la dette fournisseur, elle atteint « 15 millions d’euros », d’après Françoise Grolet (FN).