Les voeux de Françoise Grolet, réunion du 19 janvier 2020 à La Patrotte
Aujourd’hui, comme un dimanche de janvier, vous pourriez être chez vous, bien à l’abri de ce qui se passe à l’extérieur.
Mais vous avez fait le choix d’être ici. Pour une cause qui nous dépasse et qu’on appelle la politique.
On m’a souvent posé la question, comme mère de famille nombreuse : l’engagement politique n’est-il pas au détriment de vos proches ? Certainement pas, au contraire.
Vous le savez comme moi : le temps que l’on ne passe pas auprès des siens pour la politique, en réalité on le dépense pour eux. Pour nos enfants, nos petits-enfants, nos anciens, et en continuité avec tous ceux qui, avant nous, se sont battus pour que nous ayons un avenir meilleur.
Nous avons fait ce choix d’être militants d’une élection qui ne se gagne que sur le terrain, dans les rues de Metz, au plus proche de ceux que nous aspirons à convaincre, à défendre et à protéger.
Et de haut en bas quelle nécessité de nous engager, aujourd’hui où le gouvernement du méprisant Macron atteint des sommets de brutalité, de trahison des intérêts du pays, et de spoliation du travail des Français. Sa seule issue reste de diviser pour régner !
Que de symboles dans notre ville de Metz
Dans le froid du 31 décembre, un homme sans domicile est mort dans la rue. Comment peut on manquer de l’essentiel au point d’y laisser la vie, dans son propre pays, plus hospitalier pour les nouveaux venus que pour les nôtres ?
Hier pendant une visite de quartier à Borny, j’ai croisé, sortant de l’église, le cercueil du policier messin Franck Labois, tombé en mission dans la région lyonnaise en début de semaine. Qu’il repose en paix.
Mais que les responsables de cette chienlit ne dorment pas tranquilles, surtout pas !
Dans ce même quartier, il y a 10 jours, un « déséquilibré » (comme si un islamiste radical pouvait être équilibré) menaçait les passants et les policiers au couteau en criant Allah Akbar.
Il a été arrêté d’une balle dans la cuisse par la police. Sous les invectives d’individus qui criaient « c’est nous les fous, c’est vous les assassins ! »
J’ai demandé au préfet si ces individus ont été identifiés et interpellés. Pas de réponse.
- L’agresseur, fiché S pour radicalisation islamiste, était employé d’une association d’insertion, dans la propreté urbaine. J’ai donc aussi demandé au maire s’il avait d’autres spécimen fichés S pris en charge par l’argent public.
- Sa réaction ? Une visite de quartier pour contrer le RN et ajouter à la victimisation de certains habitants, pas pour répondre à l’inquiétude des habitants contraints de « vivre ensemble » avec des islamistes !!!
Je vous le dis mes amis : on ne changera rien avec les mêmes !
(…) Suite à écouter en cliquant sur le lien ci-dessus (…)
Vous avez vu les tracts de certains candidats qui dissimulent le logo de leur parti ? Nous, nous allons à la bataille électorale sous notre bannière parce que nous n’avons pas peur du suffrage des Français.
Cette lutte quotidienne que nous menons pour défendre la France et protéger les Français, elle finit par payer, j’en suis persuadée.
Et ces succès, c’est la victoire des élections qui viennent.
Avec vous à nos côtés, 2020 sera une très bonne année : l’année du bon sens pour Metz !