Blida, surnommée « La Ville des Roses », est une commune de la wilaya de Blida, dont elle est le chef-lieu, en Algérie.
Pardon pour cet égarement. Nous parlons ici de l’avenue de Blida à Metz.
Deux zones de faux demandeurs d’asile existent dans cette avenue. La plus médiatique se situe à proximité de l’aire des gens du voyage. Après trois vagues de relogement de 700 à 800 personnes à chaque fois, cet espace n’est plus utilisable suite à l’incendie déclenché par les derniers locataires.
La moins connue et surtout la « non-médiatique » située à moins de 30 mètres de la police municipale vient de connaître un épisode stellaire inquiétant.
En effet les tentes qui occupaient le moindre espace de verdure (ne cherchez pas, il n’y a plus trace du moindre brin d’herbe) ont disparu.
Ces faux demandeurs d’asile aidés par les associations d’extrême gauche prêtes à tout pour propager le malheur et la pauvreté à Metz, ont laissé place à des météores, comme on peut le constater sur ces photos. Mais où est donc passé la centaine de personnes qui vivait sur ce lieu et se réchauffait tant bien que mal en faisant des feux de camp à même le bitume (traces et odeur de macadam brûlé sont encore présentes et vous piquent au nez)
Trêve de plaisanterie !
Après avoir érigé un grillage de 2 mètres de haut pour protéger les terrains à proximité de la déchetterie de la houblonnière, après avoir labouré le terrain au bout de l’Avenue des Deux Fontaines et enfin après avoir miné le terrain de rochers Avenue de Blida pour empêcher l’installation de roms et la création de bidonvilles de « migrants », il est grand temps que cette situation cesse.
Faudra-t-il ravager tous les espaces verts, grillager la ville entière ou encore bombarder la ville de rochers pour ne plus subir ces installations sauvages organisées par les associations gauchistes ?
Il faut arrêter de laisser entrer par nos frontières passoires une immigration non seulement légale, mais aussi clandestine.
Le très socialiste maire de Metz, Dominique Gros connaît très bien les responsables, mais ne dit mot pour conserver une pseudo paix sociale et qui n’ont que pour seul et unique but l’exploitation de la misère sous couvert d’humanisme.
Que l’on commence par s’occuper des 250 personnes recensées par le CCAS vivant dans une extrême précarité et pour certains à la rue avant d’importer une misère qui ne sert que des gauchistes aveuglés par une idéologie morbide.
SB
Dommage que le maire ne réalise pas ce genre d’enrochement sur la rue Metman à Metz.
Ce boulevard est un défouloir pour moto et voiture en sortie de Borny (du restaurant le coup d’œil au feu du boulevard de l’Europe.(Heureusement que ce carrefour est doté d’un radar feu !)