Communiqué du Front National de la Jeunesse, le 13/04/18
Lundi 9 avril, plusieurs collectifs et associations de Moselle avec en tête «Solidarité vigilance Moselle», se sont permis de s’accaparer la maison des étudiants de l’Université de Lorraine, sur le campus du Saulcy. Le but était de loger des «migrants» en provenance d’Albanie, Kosovo, Serbie et Macédoine. Cette décision fait suite au refus de la préfecture de leur octroyer un lieu d’accueil.
Ces associations instrumentalisent les «migrants» et nuisent maintenant aussi aux étudiants du campus du Saulcy à Metz.
Particulièrement touchés par la précarité, les services offerts aux étudiants par la MDE leur sont devenus indispensables tant dans leur vie matérielle que sociale.
Les étudiants ne doivent pas être les victimes collatérales de l’afflux migratoire incontrôlé dans notre pays !
Il est inadmissible que dans une France qui compte 9 millions de pauvres (INSEE 2015), des logements, des prestations soient attribués, à des étrangers en situation irrégulière. Il ne s’agit pas d’opposer les misères mais d’établir une priorité nationale ! Rappelons aussi le taux de pauvreté de 21 % à Metz, c’est-à-dire 30 000 personnes…
En 2017, Marine Le Pen avait proposé de :
- Rendre impossible la régularisation ou la naturalisation des étrangers en situation illégale.
- Simplifier et automatiser leur expulsion.
- Rétablir les frontières nationales et sortir de l’espace Schengen (un dispositif particulier pour les travailleurs frontaliers sera mis en place pour leur faciliter le passage de la frontière).
Le Front National, par la voix du FNJ Moselle, demande à la préfecture de faire cesser cette occupation illégale.
Grégoire LALOUX
Référent Départemental du FNJ 57
Les clandestins, dans peu de temps on nous fera croire que ce sont eux les français d’origines…
Une richesse pour la France, ces politiques qui décident devraient aller chez un ophtalmologue, ils viennent plutôt chercher la richesse ici, du moins ce qu’il en reste.
De plus quand on voit la pauvreté et le chômage en France j’ ai honte pour mon pays et de la politique menée par ces apprentis en formation politique, dit ainsi pour rester poli.