Un individu vient d’être mis en examen, suite à des tests ADN concordants, pour trois viols et agressions sexuelles perpétrés en octobre et novembre 2018 sur des jeunes femmes, dans le quartier étudiant du Saulcy à Metz. Il s’agit d’un demandeur d’asile d’origine serbe, installé dans un foyer messin avec ses frères.
Une famille déjà présente à Metz avant 2014
En 2014, l’agresseur présumé et sa famille étaient, semble t’il, passés par le Centre de Rétention Administrative de Metz, puis retournés chez eux (il s’agirait de Kosovars installés en Serbie), pour revenir à Metz en 2017, et déposer une demande d’asile en cours de réexamen. Depuis, le jeune homme vivait avec ses trois frères dans le foyer AMLI (ex bâtiments de l’AFPA) de Metz-Nord où il a été interpellé.
La politique migratoire française doit être réformée
Ce parcours révèle l’échec de la politique migratoire menée par les gouvernements français. Un clandestin ayant quitté la France (avec aide au retour ?) traverse à nouveau nos frontières et détourne la procédure d’asile pour se maintenir en France. Une famille encombre pendant des années les capacités d’hébergement d’urgence, d’encadrement social, d’aide médicale de notre pays.
Dire à sa victime « je veux juste te baiser, je veux pas te voler » démontre un degré zéro de capacité d’intégration aux valeurs françaises !
En complément d’une fermeté judiciaire absolue sur ces ignobles agressions, je demande au Préfet de la Moselle :
- de clarifier le parcours de cet individu et de sa famille : quels processus d’encadrement voire de signalement ont été appliqués ?
- de renforcer le contrôle individuel du flux très important de demandeurs d’asile à Metz et en Moselle.
Le soulagement de voir aboutir l’enquête policière ne doit pas masquer la nécessité de tout mettre en oeuvre pour protéger les Messines et les Messins. Plus jamais ça !
Françoise Grolet
Élue RN au Conseil municipal de Metz – Conseillère de Metz Métropole – Élue régionale du Grand Est
à expulser après avoit purgé la peine à laquelle il va ( peut-être…) être condamné; si non condamné ( pour « ignorance de nos codes » peut-être… plainte contre le juge acquiteur pour » complicité de viol »…)
Quel choc des réalités, après avoir été misérablement manipulés par les autorités !
Ci-dessous copie de ma publication sur la pageFacebook de la Cité musicale de Metz, suite à un spectacle pourri par le politiquement correct :
« A propos du concert du dimanche 25 novembre « l’âme russe en temps de guerre »: non à l’art mal engagé!
Deux oeuvres musicales de Rachmaninov et Chostakovitch ont été (magistralement) interprétées sur le thème « guerre et paix ». S’y ajoutait un texte lu de Stanislas Cotton, « les remparts de l’Europe », sur le drame des migrants africains. On chercherait en vain le rapport avec la Russie! Si vous voulez vous engager sur la question des migrants, ayez le courage de produire des artistes et des oeuvres issus des pays d’émigration, au lieu de vous acheter une bonne conscience en mélangeant des thématiques sans rapport les unes avec les autres. A propos de barbelés, je dis que de l’art mal engagé à l’art encagé, il n’y a qu’un pas, que vous avez franchi aujourd’hui. Bien à vous! »