Metz ville verte devient Metz ville froide, minérale et sans âme. Là où le Mettis passe, les arbres, comme les commerces, trépassent.
La gauche municipale devrait mieux mesurer combien les Messins sont attachés à ce patrimoine végétal qui les environne, et vivent comme un crève-coeur le massacre à la tronçonneuse de 900 arbres sur le tracé du futur transport Mettis.
Peut-on suggérer aux services techniques de recycler les arbres sacrifiés pour renouveler la langue de bois usée du maire Dominique Gros et de Jean-Luc Bohl, président de Metz-Métropole ?
Ils ont beau affirmer que 1200 arbres seront plantés en remplacement, un arbre ne pousse pas à vue d’oeil, ce n’est encore qu’une promesse à échéance « Metz 2030 » !