Réunion de quartier à Borny
Une trentaine de participants s’est déplacée en ce soir de St Valentin, par amour pour notre pays et notre ville. Avant de donner la parole, Françoise Grolet est revenue sur quelques points forts de la campagne qui la démarque des autres candidats.
Le sens de l’écoute
Le dernier baromètre de la Sofrès sur le ressenti des élus place Marine Le Pen à 56 % comme celle qui comprend les problèmes des Français. « C’est la raison qui me pousse à me présenter aux élections municipales avec une équipe à l’écoute comme ce soir pour votre quartier ».
Nos projets
Ne rien promettre, si ce n’est le mandat pour lequel nous aurons été élus. Une attention sera portée à la bonne gestion de la mairie ; à la sécurité ; aux transports sûrs, abordables et équilibrés dans tous les quartiers de la ville ; à la police municipale pour qu’elle agisse, en appui de la police nationale, dans toutes les rues et les quartiers
Ce que j’ai constaté et entendu lors de ma visite Borny
Les Quatre tours à Borny ont été rénovées avec la mise en place de caméras de vidéo-surveillance, tant critiquées il n’y a pas si longtemps par le maire sortant. Une grande disparité de traitement dans ce quartier de Borny, entre ces « immeubles témoin » et les locaux à poubelles sont ouverts à tout vent, juste à côté des entrées d’immeubles rue Henri Bergson !
Au lieu d’être fiers de nos racines, et d’apporter quelque chose de la France à ceux qui viennent chez nous, on les renvoie à leurs origines. C’est le travail des différentes associations communautaristes subventionnées sur les fonds de la mairie.
Cf le témoignage d’une commerçante d’origine turque qui vend de la viande de porc, parce qu’elle partage les valeur du pays qui l’a accueillie. Elle s’oppose au projet de grande mosquée, car elle n’est pas venue en France pour avoir une grande mosquée dans son quartier. D’autres personnes expriment leur refus d’être amalgamées avec ceux qui se comportent mal et profitent du système (mariages blancs…).
D’autres personnes nous ont interpellés sur la théorie du genre, ne voulant pas que leurs enfants soient endoctrinés. Le pouvoir socialiste distrait pour faire oublier le chômage et tous les autres problèmes. Cet enseignement ne peut que déstabiliser la jeunesse et son identification.
Quelques questions
La préoccupation des personnes âgées. Une personne livre son témoignage sur de la nourriture qu’elle récupère aux étalages du marché pour des personnes âgées sans ressources.
Il faut notamment aider les familles qui hébergent et ont à charge une personne âgée et malade. Par exemple ouvrir des lieux pour héberger la personne un jour dans la semaine pour libérer la famille. La municipalité doit organiser ces structures au lieu de laisser des associations se débrouiller sans subventions.
Une réaction pleine d’émotion et d’incompréhension d’une jeune fille qui a offert à manger à un SDF français, n’ayant pas mangé depuis 2 jours, alors que les étrangers et faux demandeurs d’asile obtiennent des aides.
Les demandeurs d’asile avenue de Blida. Où sont-ils hébergés ? Qui paie ?
Il suffit d’aller dans Metz et les environs. Par exemple, la cohabitation devient insupportable dans le quartier sainte Thérèse, rue Drogon. On n’a pas les pouvoirs du préfet au niveau municipal, mais la mairie aurait pu faire le siège du préfet. Dans les centres d’accueil d’urgence, les demandeurs d’asile sont prioritaires. Les SDF n’ont plus de place ou se font agresser lorsqu’ils s’y rendent.
Pour conclure, reprise de trois points concernant Borny.
- a- Des chiffres de la sécurité alarmants si l’on rapporte le nombre de délits commis (drogue, incendies de voitures) à la population du quartier.
- b- Les impôts n’ont pas augmentés à Metz. Mais que dire de la prime fixe du chauffage urbain (+42 %) que l’on chauffe ou non son appartement ? Cela concerne tout le quartier de Borny.
- c- Les demandeurs d’asile dans notre quartier ou ailleurs sont les conséquences d’une politique internationale pour laquelle la France est engagée et de la disparition de nos frontières. Bombarder un pays ne résout rien. La misère est souvent encore plus insoutenable et les motifs de fuite de son pays plus nombreux.