Suite du feuilleton des clandestins demandeurs d’asile à Metz : après la promesse de règlement de la situation fin mars, faite par le préfet N. Meddah à Dominique Gros (Conseil municipal de mars 2013), les habitants de Bellecroix ont subi l’extension du campement sauvage d’environ 80 personnes sur toute la façade de l’immeuble rue de Stoxey. Le dernier courrier affiché devant les locaux de l’AIEM (association gérant le Pôle Asile) annonce un départ fin mai.
Selon des informations concordantes, le Pôle asile s’installera dans l’actuel dépôt des bus TCRM, avenue de Blida au Pontiffroy, avec un centre d’accueil temporaire.
Hier encore, des bus rejoignaient le dépôt (voir photo) qui doit se vider aujourd’hui 29 mai pour rejoindre l’entrepôt flambant neuf du Mettis, à Metz-Nord. Ceci explique que le quotidien régional annonce aujourd’hui le déménagement du Pôle asile pour la mi-juin seulement.
Cette date est attendue avec impatience par les habitants de Bellecroix qui ne supportent plus la cohabitation forcée avec les demandeurs d’asile. Réaction que seuls les esprits endoctrinés par la gauche osent taxer de racisme et d’égoïsme, tant elle est partagée par les riverains de toutes origines présents à Bellecroix, dans un quartier déjà assez difficile.
Est-ce la fin du feuilleton ? Pas du tout hélas… D’une part, c’est un très mauvais « remake » pour le quartier du Pontiffroy, qui a hébergé les bureaux de l’AIEM avant qu’ils déménagent à Bellecroix à l’automne 2011. Le nouveau site est qualifié de « loin des habitations » (Républicain Lorrain du 29/05/13), qu’en penseront les habitants du boulevard Paixhans et du Pontiffroy ?
D’autre part, à chaque révision de la situation (comme le déblocage de centaines de logements après l’été 2012, puis la fermeture temporaire des bureaux submergés de dossiers en octobre), les autorités promettent que la situation est désormais sous contrôle. Les citoyens, eux, savent bien que sitôt ouvert, le centre d’accueil temporaire sera rempli, et que de nouveaux miséreux viendront se presser à la porte du Pôle asile. Tant que les pompes aspirantes de l’immigration incontrôlée ne seront pas fermées, la situation perdurera et s’aggravera. Il faut donc réglementer strictement le droit d’asile en France au bénéfice des personnes en réel danger dans leur pays, et faire repartir effectivement les requérants déboutés, à l’opposé des régularisations continues opérées par les gouvernements de droite comme de gauche.
avec les gitans a coté d’eux il n ont pas intérêt de faire les idiots il vont prendre du plomb autrement
alors il faut savoir que ça va être un « sas » temporaire. Super! Ca veut dire que les gens arrivent en France, ils passent temporairement par ici, le temps de constituer les dossiers et ensuite on les reloge. Fantastique! Quel beau pays qu’est la France!!!
Sauf que, des logements, il n’y en a pas. Alors temporaire, au bout de 3, 4 ou 5 ans, je n’appelle plus ça du temporaire!
Avant de vouloir aider son voisin (ce qui en soit est honorable), aidons-nous nous-même! Il y a déjà assez de citoyens français dans la misère à qui il faudrait des logements et de toute urgence.
Il y a de nombreux logements libres ou vacants (pas ceux insalubres qui sont loués à des familles étrangères par des propriétaires sans scrupules)!
Mais malgré ce fait, nous n’avons plus la possibilité de les loger ces personnes, quel est le but en finalité de les loger, les nourrir,…..au détriment des français dans le besoin? Alors qu’on demande toujours aux Français de faire des sacrifices financiers toujours et encore??
France terre d’acceuil, il faut en finir, ce n’est ni rendre service à ces personnes et bien moins encore à nos citoyens qui n’en peuvent plus de payer et de cotiser pour les allocations familiales ou logements. Surtout que ces allocations aident rarement les familles françaises.
C’est une catastrophe pour le quartier. déjà, nous devons cohabiter avec les clients du foyer du pont des Grilles, ceux qui fréquentent le centre Caritas bd Paixhans… La circulation très dense, le couloir de bus qui longe l’école Debussy, ce n’est rien à côté des problèmes qui nous attendent.
Une belle réussite. Préfet et maire ont trouvé la solution : cacher la misère dans des entrepôts inadaptés, mais qui ont au moins le mérite d’avoir une très grande capacité d’accueil. Les occupants en appelleront d’autres, et ainsi de suite. Cela offre de belles perspectives pour « Metz ville d’asile », mention qui devrait figurer dorénavant sur tous les panneaux et brochures de présentation de notre ville, puisqu’à Metz, on aime dépenser largement pour la communication.
Au-delà de ce problème local, c’est toute la politique intérieure et extérieure qu’il faut revoir pour résoudre cet afflux de pseudo-réfugiés. L’UMPS n’en a jamais fait son cheval de bataille. Plus grave encore, ceux qui gouvernent et ne font rien trompent ceux qui croient en un avenir meilleur chez nous. Ils sont beaucoup plus réactifs lorsqu’il s’agit de ponctionner les contribuables.
Si je me souviens bien, le maire voulait sortir la pauvreté de l’avenue Blida qui selon lui concentrait toute la misère de Metz.
L’avantage de ce lieu, c’est qu’un campement d’une taille sans commune mesure avec celui de la rue de stoxey pourra s’établir, bien dissimulé.
Ces politiques devraient avoir honte de faire vivre ces personnes dans des conditions aussi indignes !
on déplace simplement le problème!