La 6ème et dernière édition de la Nuit blanche prévue les 5 et 6 octobre prochains à Metz sera la dernière, nous promet Antoine Fonté, adjoint de Dominique Gros à la Culture.
En effet, la ville envisage de « glisser vers une friche artistique » située dans l’ancien dépôt des bus-TCRM.
« Ce sera un lieu de ressources mutualisées et de résidence pour les artistes du spectacle vivant et les arts plastiques mais ce ne sera pas un lieu de diffusion », précise Antoine Fonte.
« On tente l’expérience sur trois ans et si c’est concluant, on ira dans un autre endroit car celui-ci a vocation à être vendu », poursuit l’adjoint à la culture de Metz, qui veut garder secret ce second lieu.
« Son coût de fonctionnement ne dépassera pas 300 000 € dont la moitié sera financée par la Ville », promet l’élu.
Cette friche devrait également accueillir une « mini-école des Beaux-Arts », le mercredi, dans le cadre de l’aménagement du temps scolaire et une pépinière de création d’entreprises d’art et de design.
Dominique GROS et son équipe auront décidément pris plaisir à se perdre dans des expérimentations hasardeuses et ruineuses pour la ville.
La Nuit Blanche n’existera plus, mais il paraît insupportable aux socialistes de ne pas dépenser l’argent des Messins, c’est pourquoi la même somme, soit 300 000 euros sera tout de même dépensée annuellement dans une structure pérenne.
Au lieu de multiplier des structures à tout va, au point de ne plus savoir qui fait quoi, nous nous engagerons à améliorer celles existantes, à promouvoir l’art et la culture au bénéfice de tous, et surtout à valoriser l’action des bénévoles qui s’investissent sans compter, plutôt que de subir un « art » prémâché et inaccessible qui ne sert qu’à enrichir une minorité d’entre-soi.
Encore et toujours tout au même endroit! Chers élus, n’oubliez pas que le centre-ville est le cœur de Metz. Arrêtez de tout centraliser dans des endroits improbables! Certes ce foutu mettis conduit à ces endroits, mais les gens s’étant installés au centre-ville ville compte profiter de la proximité des choses. Sinon, autant habiter en périphérie et ne plus se faire défoncer par la taxe d’habitation (qui elle ne fait pas de distinguo!). Les vieux pigeons riches ne seront pas éternellement là. Et les « jeunes » se voient retirer toutes les animations annuelles metizart, nuit blanche et j’en passe. Allons à la campagne c’est tout autan animé! Bisou