Une simple question : Dominique Gros, a t’il été élu, il y a un an, pour permettre « à tous les Messins de se questionner tous les jours sur leurs valeurs (…) afin de rester sans cesse impliqués et responsables » ?
Pendant 15 jours à partir du 14 février 2015, la Ville de Metz offre à ses habitants le droit de s’exprimer sur un Mur intitulé « Libertés chéries » édifié au coeur de l’Esplanade.
« Offre » ? À quel prix, mystère ! Le Conseil municipal n’a pas été consulté. Pourtant, la mobilisation toutes affaires cessantes des services techniques a un coût certain. Les agents municipaux ne seraient-ils pas plus utiles dans les quartiers où ils manquent de temps pour entretenir, réparer, nettoyer le patrimoine public ?
Le pire reste à venir. L’Adjoint au Maire délégué à la Citoyenneté, à la Démocratie Participative & à la Coordination des Adjoints de Quartier… présente ce projet comme provenant d »un citoyen » lambda. Sur la page Facebook de l’événement « Libertés chéries », ce citoyen lambda défend cette « opération citoyenne, absolument rien de politique »…
…mais sur son compte facebook personnel et public, cet aimable citoyen affiche son militantisme politique en s’en prenant, de façon injurieuse, à Marine Le Pen, la présidente d’un mouvement politique acteur essentiel de la vie politique française, et il injurie par la même occasion ses électeurs, puisque le Front National est le premier parti à Metz depuis les élections européennes.
Cette personne, partenaire de la Ville de Metz, milite d’une façon particulièrement ordurière, que chacun peut apprécier ci-contre.
Allo Freud ?!
Dominique Gros serait bien inspiré de se concentrer sur les difficultés réelles de nos concitoyens, au lieu de se complaire dans la récupération politicienne d’un drame national. Inégalités sociales, communautarisme subventionné, les problèmes ne manquent pas à Metz. Les citoyens ne sont plus dupes !
Message :Est-il encore permis d’être catholique à Nancy ?
Communiqué du Collectif Saint Epvre liberté – christianophobie ça suffit !
Ce dimanche 8 mars 2015, alors que nous sortions de l’église Saint Epvre à Nancy à la fin de la messe de 11h, nous avons pu apercevoir – quoi de plus normal en cette journée de la femme – une manifestation à caractère féministe descendant les rues du centre ville. Quelle ne fut pas notre surprise, en revanche, lorsque nous vîmes celle-ci s’arrêter devant l’église et l’ensemble des paroissiens, pour les insulter, les humilier, blasphémer des horreurs sur l’Eglise, le Christ et la Vierge Marie.
Alors que les participants se rassemblaient juste devant les marches de Saint Epvre, proférant des slogans haineux, vulgaires, notamment devant de jeunes enfants, il a semblé que ce parcours et cet arrêt de la manifestation sur la place Saint Epvre à une heure pareille étaient tout à fait normaux, acceptés par les autorités politiques en vigueur tant les forces de l’ordre (ne faisant qu’appliquer des instructions et à qui nous ne jetons par conséquent pas la pierre) continuaient à encadrer ce cortège. Qu’en aurait-il été si celui-ci avait souhaité se réunir devant le lieu de culte d’une autre religion pour l’insulter ?
Il est absolument scandaleux, surtout en cette période post-11 janvier où sont proclamées partout la liberté de croyance et la tolérance à l’égard des autres, de se faire insulter, agresser, humilier en raison de sa foi chrétienne, avec l’accord, ou en tout cas le silence, de ceux garants des libertés publiques et du Bien commun.
De même, si nous respectons et admirons nos prêtres et évêques, ainsi que l’ensemble de la hiérarchie ecclésiastique, nous ne regrettons pas moins que ceux-ci ne soient pas intervenus pour faire taire ces abominations devant une église.
Nous, catholiques français, en avons assez de perpétuellement subir les humiliations de toutes parts ; nous exigeons de pouvoir pratiquer notre foi librement et normalement, que les autorités en vigueur, particulièrement celles à la recherche du vote des catholiques, condamnent ces actes et s’expliquent, et agissent pour la dissolution des ces groupuscules nauséabonds.
Nous implorons de même la hiérarchie religieuse d’exprimer son indignation et de tout faire pour que ces agissements à l’encontre de leurs ouailles cessent.
A l’heure où les chrétiens du monde entier sont persécutés, massacrés, déportés, crucifiés, les chrétiens français seront-ils bientôt condamnés à suivre l’exemple de leurs frères d’Irak, du Liban ou du Kosovo ?
Le collectif Saint Epvre liberté – christianophobie ça suffit !
Après sa « mésaventure » ,M. le Maire est-il toujours persuadé que le sentiment d’insécurité des Citoyens n’est qu’une idée folle dans leur cerveau malade ?
-Croit-il toujours que c’était une bonne idée d’abolir la répression de la « mendicité agressive »,
-En tous cas ,il a battu un record de vitesse( que ses amis « permissifs » , »anti- répressifs » ne semblent pas prêts à souligner…) : alors qu’il faut en général à la Justice15 jours ou 3 semaines de mise en observations par 2 ou 3 experts ,pour déterminer si un accusé est ,ou non, »accessible à une sanction pénale » ,il a suffi là de bien peu de temps pour décider l’irresponsabilité de l’agresseur ( comme ceux du 7 Janvier ? ) ,et pour l’interner…
le maire va peut-être revoir ses priorités maintenant qu’il a subi le vivre ensemble suite à son agression. je l’imagine bien se dire à ce moment-là, mais ou est la police.
Initiative bizarre du maire de Metz qui n’écoute personne, surtout ceux qui ne pensent pas comme lui et ne sont pas dans le parti à la rose fanée. Même le conseil municipal n’a pas été consulté, tout comme pour l’armement de la police municipale. Cela révèle le degré d’autisme dont est atteint le maire. Souffrait-il du même syndrome que Poutine ? Aux Américains de nous le dire.