Pressée par sa folie dépensière, la municipalité socialiste ne peut même plus attendre le budget 2016 : c’est au détour du prochain Conseil municipal du 24 septembre que seront votées trois hausses d’impôts. Au final c’est 991 000 € supplémentaires qui vont être ponctionnés dans la poche des Messins. Quand les socialistes invoquent la « raréfaction des ressources », c’est bien aux finances publiques qu’ils pensent… mais certainement pas à nos concitoyens dont le pouvoir d’achat ne cesse de diminuer.
– Pour la Taxe d’Habitation, la présentation alambiquée surlignant l’aide aux familles et aux personnes handicapées ne peut masquer la réalité : 1 000 000 € à payer en plus pour les contribuables, contre 200 000 euros redistribués par des modifications d’abattements pour les foyers avec trois personnes à charge et les personnes handicapées. Soit 800 000 € supplémentaires pour nourrir le moloch socialiste. En commission des Finances le 17/09/15, il leur a bien fallu donner ces chiffres bruts, en refusant de produire plus de données sur l’incidence de ces décisions pour la population messine. Un manque total de transparence assumé sans complexes par l’adjoint aux finances JM Toulouze, pour qui l’opposition va « partir dans des délires » sur ce sujet « anxiogène » !
– L’exonération pour deux ans de la Taxe Foncière sur le bâti pour les habitations neuves est supprimée. 60 000 € supplémentaires vont être ponctionnés.
– Jamais deux sans trois : la Taxe sur l’Électricité (TCCFE), chère à Dominique Gros qui l’a instaurée dès sa création par Nicolas Sarkozy, va être portée à son maximum légal. Tous les foyers messins, y compris les plus modestes, verront donc leur facture d’électricité augmenter, rapportant à la municipalité 125 000 € de plus.
Cette quête tous azimuts d’argent frais tend à prouver que Metz ne serait pas aussi bien gérée que ne le proclame Dominique Gros… Dans leur tour d’ivoire, les socialistes ignorent complètement le ras le bol fiscal de nos concitoyens, ainsi que la précarisation montante à Metz. Les Messins devront serrer un cran de plus à leur ceinture pour alimenter les choix politiques du Maire, mais pas question de restreindre le train de vie municipal ni de revenir sur les décisions pharaoniques comme le Palais des Congrès. Et c’est dans ce contexte tendu que Dominique Gros annonce l’installation à Metz de 250 migrants !
Les élus Front National, qui s’étaient engagés à refuser toute hausse de la fiscalité, continueront à défendre fermement les intérêts des Messins.
Françoise Grolet
Présidente du groupe Rassemblement Bleu marine pour Metz
Hélas, dans un pays communiste il ne fallait pas attendre autre chose.
Ils ne sont jamais à court de l’argent des autres.
C’est pas cher en plus….!