Au début du conseil municipal du 25 octobre 2018, Dominique Gros a présenté aux élus son courrier au nouveau Ministre de l’Intérieur Christophe Castaner. Le maire de Metz demande la création d’un seconde plateforme d’accueil des demandeurs d’asile sur le territoire lorrain en plus de celle de Metz.
Un appel à l’aide à Christophe Castaner
Il faut savoir que les migrants qui affluent à Metz depuis 2011 visent une destination : la plateforme d’accueil qui étudie les demandes d’asile. Plus de 3000 arrivées depuis début 2018 : année après année, l’hébergement devient de plus en plus problématique. Et il devient critique à l’approche de l’hiver (avec le relogement automatique en application de la loi DALO).
La position du Rassemblement National est claire. Autant nous trouvons utile le voyage en Albanie du maire de Metz, afin de transmettre un message de fermeté aux autorités locales, autant sa démarche auprès du ministre Castaner est politiquement nulle. Il ne s’agit pas de partager la misère avec Nancy, car plus la France ouvrira les vannes, plus de clandestins arriveront !
J’ai enfin interpellé le maire sur sa responsabilité dans la saturation de Metz.
Si Metz est une destination aussi reconnue pour les clandestins, c’est le fait d’associations qui les encadrent dès leur arrivée. Or la municipalité socialo-macroniste de Metz fait preuve d’un laxisme complaisant envers ces associations, les laissant par exemple couvrir la ville d’affichage sauvage.
10 000 € du CCAS détournés pour une association d’aide aux clandestins
Pire : le mois dernier, la municipalité de Metz a fait voter par son Centre Communal d’Action Sociale une subvention de 10 000 € à « Solidarité Migrants Moselle ». Cette association gère un lieu d’accueil municipal pour les migrants, la maison du gardien de la patinoire, sur le parking du Saulcy. 10 000 € qui sont détournés de l’aide aux Messins défavorisés, c’est insupportable ! D’autant plus insupportable quand on sait que cette association participe aux occupations de bâtiments publics par les migrants. Comme le gymnase du collège de l’Arsenal, occupé récemment par 130 personnes qui ont été relogées depuis. C’est tellement révélateur de l’inconséquence des élus de tout bord, qui se lamentent sur les conséquences des politiques qu’ils ont choisies.
On ne changera rien avec les mêmes, il est temps de revenir au bon sens !