On sait qu’à Metz, il n’y a pas d’insécurité, mais seulement un vague « sentiment d’insécurité »… En clair les gens ressentent quelque chose qui n’existe pas vraiment ; la municipalité socialiste croit-elle que les Messins sont dérangés, paranoïaques, et auraient besoin d’une psychothérapie ?
En mars 2013, pour lutter contre ce fameux « sentiment d’insécurité », le maire socialiste de Metz invente les « médiateurs de tranquillité ». Des contractuels (surtout pas des policiers) qui iront par deux, tard le soir, à la rencontre des noctambules et des fêtards du centre-ville
Le chroniqueur Philippe Mayer « exécute » la politique municipale en 3’30 » sur France Culture.
C’est bien facile de juger après les avoir vu une fois. Moi je les ai vu à l’oeuvre plusieurs fois sous la pluie ou gérer des altercations de SDF. Faites ce qu’ils font ensuite vous pourrez critiquer.
Vous confondez, je ne remets pas en cause ci-dessus l’action des médiateurs de Metz, mais la faiblesse de la réponse politique à la réalité de l’insécurité dans notre ville.
ben je l’ai vu ce fameux médiateur au concert place de la république à fumer des clopes et passer entre eux un bon moment et pas vraiment faire de la médiation !