Débat Public sur la Sécurité à Metz
La sécurité des citoyens est au cœur de notre quotidien.
Sans sécurité dans nos rues et nos domiciles, pas de commerces prospères, pas de tranquillité pour les habitants de tous âges.
Face à la dégradation continue de la sécurité dans notre ville, le Maire de Metz ne sait que répéter : « Metz est une ville sûre ». De même qu’il soutient que la ville est bien gérée !
Depuis mon entrée en campagne pour les élections de mars prochain, les Messins me disent exactement l’inverse ! (Françoise Grolet)
Alors qu’allons nous faire ?
Si vous aussi pensez que la sécurité doit être une priorité pour Metz, alors vous êtes les bienvenus pour en discuter librement avec Françoise Grolet et son équipe ce vendredi 27 septembre à 20h, au Centre socio-culturel de la Grange aux bois, 86 rue de Mercy.
L’entrée est libre.
Nous comptons sur votre présence.
Cher Noël,
Il est nécessaire d’avoir du respect pour l’expérience des aînés, mais il est juste aussi d’avoir une dose d’indulgence pour la jeunesse qui manque précisément d’expérience…
Après le morceau de PJ Vaillard que vous citez, j’ajouterai ces mots de Bernanos : »C’est la fièvre de la jeunesse qui maintient le reste du monde à la température normale. Quand la jeunesse se refroidit, le reste du monde claque des dents ».
Continuons le dialogue, si vous le voulez bien,
L’Histoire se pépète…
Rappelons-nous l’alternance de 1981 et ce coup de hueule poétique de Pierre Jean Vaillard :
MAI 1984
> > > Vous nous avez bien eus en Mai quatre vingt un
> > > Avec vos sortilèges, vos rires et vos promesses.
> > > Vous vendiez du bonheur comme on vend du parfum
> > > Et oui, deux ans plus tard…vous nous bottiez les fesses.
> > > Le bon peuple de gauche caressait l’or des songes,
> > > Il le sait maintenant, ce n’était que mensonges !
> > > Le chômage s’installe, le franc est chancelant,
> > > Le Dollar au Zénith, le Super à cinq francs.
> > > Le pays incrédule gît au sol, pantelant.
> > > Ah ! Ne claironnez plus vos avances sociales,
> > > Nous sommes tous meurtris par vos ponctions fiscales.
> > > Votre grand argentier nous prend bien pour des cons
> > > En réclamant toujours et encore du pognon !
> > > Tout le monde est saisi par un affreux vertige,
> > > En cauchemar atroce devant nos caisses vides ;
> > > Expliquez-nous comment, vous avez en deux ans !
> > > Endetté ce pays pour plus de cinquante ans !
> > > Vous rabâchez sans cesse cet éternel refrain :
> > > C’est la faute à la droite, et aussi aux Ricains !
> > > Et tant que vous y êtes, pourquoi pas aux putains ?
> > > Il faut savoir, messieurs, quelquefois dans la vie
> > > Reconnaître ses torts, ses erreurs, ses oublis,
> > > Et non se réfugier dans un défi hargneux.
> > > Les vrais hommes publics sont francs et courageux.
> > > Nous allons sans détour et sans ambiguïté
> > > Vous servir tout de go, vos quatre vérités :
> > > Vous êtes des charlots, des guignols, des manants,
> > > Et votre chef débile, le triste « mythe errant » !
> > > Homme au visage pâle et au regard fuyant,
> > > Ce bouffon d’opérette qui trône à l’Elysée
> > > Est de toute l’Europe, devenu la risée !
> > > Arrêtez vos salades et vos propres mensonges,
> > > La coupe amère est pleine, elle va déborder.
> > > Halte là ! Ça suffit ! Foutez le camp, partez !
> > > Nous n’aimons pas, Messieurs, passer pour des cocus,
> > > Et nous vous chasserons à coups de pied au cul !
> > > Pierre Jean Vaillard
Ici à Metz, en 2014, ce sera semble t’il pareil !
Mais QUI choisir pour REmettre METZ sur les bons rails ?
C’est bien là la difficulté…
Si l’Etat Major du FN énonce avec intelligence les VRAIS problèmes qui minent notre société et propose des solutions réalistes pour leur résolution dans le temps, l’apport massif de jeunes inexpérimentés et intolérants dans les conseils municipaux ne sera t’il pas le talon d’Achille qui ferait de ce succès espéré du moment la tombe du mouvement en pleine ascension ?