Réponse à la publication d’une motion par une partie du CA du CCAS de Metz
Où sont les propos diffamatoires, xénophobes et mensongers ?
Un membre du Conseil d’Administration du CCAS s’est ému de la tribune du FN Metz dans le magazine municipal de juin 2014, et a fait voter par l’UMPS et les autres administrateurs au CA du 24 juin 2014 une Motion de condamnation (ci dessous) à laquelle je n’ai évidemment pas participé. Je veux répondre, au nom de tous les Messins -de droite comme de gauche-qui ont lu la tribune en question (ci-jointe) et m’ont dit : « Enfin, quelqu’un dit haut et fort ce que tout le monde pense ! »
Le CCAS est le vecteur (indispensable bien entendu) de l’aide sociale au niveau municipal. C’est donc, entre autres, par son intermédiaire que les demandeurs d’asile disposent de la manne de l’Etat et du département sous toutes ses formes. Comme d’habitude, la municipalité socialiste se décharge de ses responsabilités et renvoie la faute sur le dos de l’Etat.
De plus, le CCAS participe lui-même également au financement direct des « pompes aspirantes » . L’extrait du compte administratif 2013 ci-dessous en apporte la preuve.
Je continuerai donc à dénoncer la carence du maire, responsable de l’ordre public et de la propreté. Ceux qui y voient une accusation xénophobe pratiquent eux-même l’amalgame et la diffamation. Car l’afflux sans précédent de cette population à Metz est évidemment à l’origine de difficultés de tous ordres.
Nous avons déjà interpellé le Préfet et le Maire sur le fait que les campements successifs qu’ils ont tolérés ou organisés (Pontiffroy, bois de Bellecroix, rue de Stoxey, Blida), sont insalubres et indignes. Le Front National a toujours affirmé que les premiers responsables de cette situation anormale sont les hommes politiques de droite comme de gauche.
Nous dénonçons leur impuissance et leurs erreurs, alors ils veulent nous faire taire !
Xénophobe ou francophile ?
Protéger le faible, c’est bien, mais chaque cas est différent, voire unique, et un nombre toujours croissant de faux demandeurs viennent en France pour bénéficier de nos aides sociales et se faire soigner gratuitement. Rappelons que la plupart de ces arrivants ne viennent pas de pays en guerre, qu’ils n’ont pas payé de passeur mais sont venus par des lignes de bus régulières, que l’Union Européenne a distribué à leurs pays d’origine des centaines de millions d’euros, qui visiblement n’ont pas été utilisés à bon escient.
Rappelons les chiffres de la précarité en France : 5M de chômeurs, 9M de personnes en-dessous du seuil de pauvreté, 3,6 M victimes du mal-logement, 2.000 milliards de dettes, etc. Faire venir ces gens dans notre pays en crise ne résoud aucun problème, ni ici, ni dans leur pays d’origine. Le maire de Metz se doit d’être à l’image d’un père de famille qui a le devoir de nourrir et protéger en priorité ses propres enfants avant les autres. Ce n’est pas être xénophobe que de dire cela.
Les menaces (y compris judiciaires) sur la liberté d’expression d’une représentante du peuple n’aboutissent qu’à affirmer le fossé entre les Messins et les partis au pouvoir, vrais responsables de cette situation difficile. Ne voit-on pas toujours plus de Messins rejoindre le premier parti de France ? Les représentants du système nous trouveront toujours face à eux pour dire la vérité qu’ils veulent cacher aux Messins.
Présidente du groupe FN
et les conseillers municipaux Rassemblement Bleu Marine pour Metz
CCAS, les subventions aux associations en 2013
- Collectif d’Accueil des Solliciteurs d’Asile en Moselle 1 000,00 € (21, rue du Languedoc 57072 METZ CEDEX 3)
- AIEM (Pôle Asile, Equipe Mobile, Gîte, les Sarcelles, l’Abri ) 4 010,00 € (10, rue Mazelle 57000 METZ)
Etat du camp de Blida lors du relogement en novembre 2013 (relire l’article complet)
Metz Magazine comporte 44 pages, le FN qui est arrivé en tête à Metz aux dernières élections européennes, bénéficie d’une libre expression d’à peine un quart de page, et le CCAS trouve que c’est encore trop.
Le CCAS devient accusateur public, lyncheur professionnel par le biais d’une motion de son Conseil d’administration.
La motion s’en prend violemment à des élus responsables, en les menaçant de poursuites judiciaires aux frais des contribuables, ce qui démontre s’il en était besoin que certaines personnes exercent une véritable terreur avec des moyens dont ils abusent, contre l’intérêt des Messins.
Ces personnes sont irresponsables de vouloir étouffer violemment les réactions de défense, de retourner la situation que vivent les Messins en accusant ces derniers de rejeter les demandeurs d’asile, entrés illégalement en France, d’inverser les responsabilités en reprochant à ceux qui défendent les Messins « d’attiser des réactions de rejet ». Ce sont au contraire ceux qui contribuent à faire fonctionner les pompes aspirantes qui « attisent les réactions de rejet ».
quand on voit les photo de leur camps c’est une décharge a ciel ouvert
maintenant on les héberges a l’ ancien bureau DDE prés de l’autoroute
sa m’ecoeure
que l’on s’occupe des vrais Français qui n’arrive plus a joindre les deux bouts