« L’immigration a été, est, et sera la chance de ce pays »
« Cette France moisie, on n’en veut pas »
Aurélie Filipetti fait de la victimisation un fonds de commerce.
Elle propage la haine, dresse les communautés les unes contre les autres, et amalgame aux racailles anti-françaises les immigrés qui vivent paisiblement en France, travaillent et respectent les lois.
Elle renie de fait ses origines, les Italiens, les Polonais, les Espagnols…, qui se sont parfaitement intégrés en Lorraine, en une seule génération !
La ministre Filipetti est considérée comme une « chance pour Metz » par la gauche municipale, Dominique Gros lui fait les yeux doux.
Ces socialistes sont prêts à vendre l’identité et la souveraineté de la France au détail pour conserver leur pouvoir (voir le droit de vote des étrangers)
Il faut l’entendre, cette haine de la France ! Madame, on ne dit pas de sa mère ce que vous dites de la France, ou bien la patrie ce n’est rien pour vous ?